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 A PROPOS DE L'APPRK

Créée le 21 novembre 1988, l’Association des Plaisanciers du Passage au Relecq Kerhuon a pour objet l’organisation et la gestion des mouillages collectifs sur le plan du Passage.

Cette zone de mouillage fait l’objet d’une Autorisation d’Occupation Temporaire du domaine public maritime concédée à la commune du Relecq Kerhuon par l’Etat à dater du 1er janvier 2015 ( date de renouvellement de l’AOT) et pour une durée de 15 années.

La commune du Relecq Kerhuon, par convention en date du 27 février 2014, confie pour un an avec reconduction tacite la gestion de la zone de mouillage à notre association.

L’association se voit donc confier dans le cadre des règlements d’exploitation et de police des zones de mouillage la mission :

  • d’organiser et réaliser l’aménagement et le maintien en bon état des installations de mouillages.

  • de faire respecter les règles de sécurité ayant trait aux zones de mouillages autorisées et s’assurer que tous les utilisateurs de mouillages sont bien identifiés (n° d’immatriculation au nom du bateau)

  • de tenir à jour et à disposition de tous ceux qui souhaiteraient en connaître, la liste d’attente établie dans l’ordre chronologique d’inscription, avec mise à jour annuelle par confirmation des demandeurs.

  • de proposer l’attribution des emplacements devenus vacants, selon l’ordre de la liste d’attente, des caractéristiques des navires et des emplacements.

  • de recouvrer auprès des bénéficiaires d’une autorisation de mouillage le montant correspondant à leur occupation et verser à la Trésorerie Municipale le montant réclamé par la Ville, après émission du titre de recettes par le titulaire.

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LE PASSAGE, POURQUOI LE PASSAGE ?

La situation péninsulaire du Relecq-Kerhuon a longtemps contribué à isoler la commune, l'estuaire de l'Élorn n'étant franchissable que par des bacs, qui permettaient la traversée entre le Passage du Relecq-Kerhuon et le Passage de Plougastel-Daoulas, les deux lieux-dits ayant conservé cette dénomination. En 1886, le prix du passage est alors de 0,10 centime pour les piétons et de 0,50 centime pour les voitures : on ne peut passer que deux voitures à la fois. Dans "Par les champs et par les grèves" Flaubert évoque amusé son passage de l'Elorn.

Le bac à vapeur, mis en service en juin 1907 ne fonctionnait qu'à certaines heures du jour, ce qui souleva des protestations des habitants, mécontents de la raréfaction du service et de l'augmentation du coût du passage, réclamant même la remise en service du bac à rames ou à voiles antérieur, qui assurait un passage toutes les demi-heures dans la journée.

 

En dehors des périodes de fonctionnement, il fallait faire le détour par Landerneau pour gagner Plougastel-Daoulas ou tout autre endroit de la Cornouaille.

Le passage en bac s'arrêta dès la mise en service du Pont Albert-Louppe en 1930, mais reprit temporairement entre 1944 et 1949, pendant le temps d'indisponibilité du pont en raison du bombardement d'une arche pendant la Seconde Guerre mondiale. Il subsiste, au passage un café, le "Café de la cale" qui s'appelait antérieurement "Petit Nice".

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ET A TERRE ?

Sur la cale un râtelier à annexes est à disposition des adhérents. Cette construction réalisée par la Commune facilite grandement les navettes avec les bateaux au mouillage.

L’hivernage des bateaux est possible sur un terre-plein au-dessus de l’anse de Camfrout. Nous y sommes avec nos voisins et amis de l’APACK. Les sorties d’eau et mises à l’eau sont organisées par les responsables des deux associations et réalisées par un transporteur professionnel.

L’hiver, au-delà des travaux que chacun peut avoir à faire sur son bateau es aussi une période de rencontre et d’échanges.

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